Thu/Jan/Å
Tous les clients aiment bien la fabuleuse cuisine française de ce restaurant. C'est vraiment une excellente idée d'essayer des steaks fascinants. Les gourmets disent qu'un gâteau aux fruits est délectable ici. La plupart visiteurs ont attiré l'attention sur le fait que vous pouvez boire un whisky délicieux à Nous 4.
Un personnel attrayant attend les clients tout au long de l'année. Un service à ce lieu est agréable. On vous recommande aussi cet endroit car il propose un prix juste. Cet endroit est dans le guide Michelin et a 1 "couvert noir" : ce restaurant propose une ambiance chaleureuse.
Thu/Dec/Å
Une salle sympathique avec son côté chic bohême et une révélation, cette vue panoramique de Paris aussi spectaculaire que soignée dans son trait et dessin et qui occupe tout un mur du restaurant. Des tables dressées un peu partout et une ardoise qui se promène en fonction des arrivées. Et bonne surprise, des intitulés vite tentants, produits souvent oubliés dans les bonnes adresses parisiennes comme le merlu, le salsifi ou le cerfeuil tubéreux et des associations qui deviennent autant d'invitations à commander, foie de veau et sauce blanquette, cabillaud et culatello ou gravelax de saumon, huître et chou fleur. Stéphane Browne au parcours atypique ne manque surtout pas de technique pour oser des partis pris aussi personnels avec, à la clé, des assiettes généreuses et parfaitement assaisonnées. Quelques réglages à revoir parfois, surcuisson du poisson notamment, et une carte de desserts un peu trop courte pour terminer en beauté un repas qui avait si bien débuté. Service adorable et efficace.
Wed/Dec/Å
Chef au cursus éloquant : Le Crillon, Lameloise, l’Eden Roc, ou le Jules Vernes, Stephen Browne a même été consacré Jeunes Talents 2017 Gault&Millau.
Un prix qui l’a bien aidé à se mettre à son compte, en ouvrant dans ce charmant bistrot du quartier d’Aligre.
Nous 4 : une remarquable escale bistronomique, qui fera le bonheur de nous tous !
Il a d’ailleurs baptisé son restaurant Nous 4, en hommage à sa jeune famille composée de 4 personnes : son épouse, ses deux enfants et lui-même.
Pour la déco, et s’il n’a pas fait appel à une pointure pour composer le cadre de sa maison, il a confié au célèbre et tagueur et street artiste Thomas Dartigues alias Deck Two, le soin de décorer tout un mur avec une grande fresque murale avec La Concorde, les Champs Elysées et la Tour Eiffel en point de mire.
Une superbe œuvre artistique, qui contraste avec un cadre de vieux bistrot « bien dans son jus » comme on dit, et plein de charme avec son sol en grès cérame à l’ancienne, ses chaises Thonet et tables de café en bois couleur chêne, un bout plafond rouge carmin et un mur bleu vif pour créer le contraste… et bien entendu, une cuisine ouverte sur la salle comme le veut ce must actuel.
Une déco vraiment faite pour que l’on se sente bien et que l’on puisse se concentrer sur l’essentiel : son assiette !
Et la cuisine de ce chef le mérite vraiment, car il fait preuve d’un vrai talent… surtout pour le poisson (...)
Wed/Dec/Å
Nous4 - 14/20 - 2 Toques
Pas loin du marché d'Aligre, la table bistronomique de Stéphane Browne (jeune talent 2017 et lauréat de la dotation) reste un must local. On profitede ses bonnes assiettes, la belle raviole de veau, l'aile de raie, brocolis, olives et curry, la cuisse de canette braisée, courgettes jaunes, tomate et maïs, ou encore le clafoutis à l'abricot. Bonne sélection en cave.
Mon/Sep/Å
[...] Sa majesté Le Goût , sa priorité
Sa cuisine. Un chef d’œuvre de saveurs. Une cuisine d’auteur. Plats non gastronomiques, (ce n’est pas sa recherche), mais plats bistrotiers très appréciés des connaisseurs.
Stéphane s’approvisionne exclusivement et directement chez les éleveurs pour la viande labellisée Fin Gras de Mézenc ou Angus de Haute Loire, du Puy-en-Velay Bœuf né, élevé, abattu en France.
Les criées bretonnes de Lannion en Finistère nord, l’approvisionnent pour le poisson.
Les légumes viennent du marché d’Aligre proche voisin. Stéphane prend soin de sélectionner les maraîchers dont il connaît la provenance géographique. [...]
Thu/Sep/Å
Stéphane Browne, est le jeune propriétaire et jeune Chef de ce petit bijou de restaurant campé rue Beccaria, rue tranquille d’un quartier d’affaires du 12ème arrondissement de Paris. A quelques jets de billes du célèbre marché d’Aligre et de la Gare de Lyon.
Diplômé de l’École Ferrandi, Stéphane soigne sa cuisine familiale confectionnée à base de produits frais, tout fait maison, et une carte qui change chaque jour.
Il a une importante clientèle d’habitués appréciant le cadre soigné, la terrasse sur la rue peu passante, et la cuisine goûteuse et régalante.
Le tout sans esbroufe, sans chichi, sans prétention.
Il a bénéficié de la Dotation Gault et Millau pour les Jeunes Talents [...]
Fri/Jan/Å
Nous4 - Assiette MICHELIN : une cuisine de qualité.
Cochon en crousti-fondant, lentilles, sauce moutarde ; œuf poché, chou, crème au lard : vous l'aurez peut-être compris, ici, on se régale sans chichis, et à un rapport plaisir/prix aussi aimable que le chef, avec qui vous pouvez échanger, grâce à la cuisine ouverte. Une adresse décidément bien sympathique comme on aimerait en voir plus souvent à Paris.
Fri/Oct/Å
[...] On aime beaucoup le restaurant Nous4, pour la sincérité de la cuisine du chef qui réalise avec soin des recettes de tradition française qui font plaisir à tous, pour les prix doux d'une table sans esbroufe, pour l'ambiance épatante de la salle, pour l'accueil charmant et le service délicieux, pour la sélection des vins dont un excellent Côtes du Rhone "Les Grands Calcaires" 2018 de la famille Gras. Voila un restaurant où l'on peut aller en toute confiance pour simplement faire un très bon repas. [...]
Sun/Sep/Å
En restauration, les termes de convivialité et d’amour sont souvent employés, parfois galvaudés. Chez Nous 4, ils sont au contraire pris au pied de la lettre. Ici, on reçoit les clients comme à la maison car le restaurant est avant tout une histoire de famille composée du chef de cuisine stéphane Browne, de sa femme Amélie et de leurs deux enfants Alexis et Laura. On y sert des plats cuisinés à l’instinct et au fil des saisons. stéphane Browne, formé à Ferrandi, a fait ses armes auprès de Firmin arrambide et Christian Constant, a été chef du
saint Julien à Singapour et a intégré plus tard la brigade du Jules Verne à Paris puis celle d’un bar à vins. de ce parcours riche de quinze ans, ressort une cuisine vive et gourmande où se côtoient jus travaillés, betterave et vodka, maquereau et avocat, coco et palourdes ou encore mignon de porc et panais. Quant à la décoration, elle porte haut cette histoire
de tribu avec une fresque réalisée par l’artiste et voisin decktwo sur un pan complet de
mur. Cette dernière représente Paris, mais multiplie les références aux moments clés de
l’histoire familiale : rencontre, mariage, naissances… L’ambiance y est chaleureuse et la cuisine ouverte pour un lieu où l’hospitalité tient lieu de concept.
Wed/May/Å
La démarche Restaurants & Producteurs Artisans de Qualité
Reconnue par le Collège Culinaire de France, l’Appellation Restaurant de Qualité fédère les hommes et les femmes de métier qui partagent les mêmes valeurs et les mêmes pratiques.
L’Appellation est un mouvement militant qui rassemble celles et ceux qui s’engagent à incarner et promouvoir collectivement leur passion pour la transmission et l’avenir du patrimoine culinaire artisanal.
Tous ceux qui exercent le métier d’artisan restaurateur sont concernés quelle que soit leur catégorie : bistrots ou étoilés, petites auberges ou grandes tables...
Wed/Sep/Å
Dès notre arrivée, Nous 4 offre un bel espace, bien décoré, mobilier bien léché type bistro chic, des mange-debout en ferraille. Le chef propose une cuisine bistronomique simple, raffinée mais accessible et sans chichi. La carte change tous les jours, selon les courses faites par le chef Stéphane Browne. Ce jour-là, au choix en entrée : une salade de lentilles revisitée et un effiloché de cochon. L'assaisonnement juste des deux mets ainsi que l'originalité nous ont conquis. Ensuite, nous avons testé le saumon rôti parfaitement cuit ainsi que le parmentier de bœuf. Gros coup de cœur pour ce dernier plat : léger grâce à l'émulsion de pomme de terre qui met en relief le bœuf mijoté. Pour finir, le chef nous a servi sa mousse au chocolat noir aux agrumes agrémentée de noisettes fraîches... un régal pour les papilles. Tous les plats se sont avérés aussi beaux que bons. En terme de vin, la carte est variée et tournée sur la biodynamie. Le serveur nous a parfaitement conseillé et fait découvrir de nouveaux arômes. La cuisine est ouverte, nous avons pu apprécier de voir le sourire du Chef et du cuisinier se mettant à l'ouvrage,. Le serveur était également très accueillant et présent pour nous conseiller au mieux. En un mot, le Chef Stéphane Browne revisite les classiques en y ajoutant son savoir faire, le tout pour un tarif raisonnable. Courez-y !
Thu/Nov/Å
Une belle histoire que celle du chef Stéphane Browne et sa femme. Il y a quelques mois, il est sélectionné comme Jeunes Talents par le guide GaultMillau, une des bonnes idées respectables de cette entreprise. Aide à la recherche d’une affaire, à l’installation, caution bancaire ou presque, et suivi de l’évolution dans les premiers mois d’ouverture. Le chef est ravi, sa famille aussi puisqu’il les associe jusque dans le nom du restaurant. Marié, deux enfants, et le voilà chez lui dans une rue calme pour l’instant, à deux pas du marché d’Aligre.
Avant d’atterrir dans le quartier, Stéphane Browne a bourlingué en France et à l’étranger. Ce parisien d’adoption a choisi la cuisine un peu par hasard, s’est retrouvé chez Dominique Bouchet, au Crillon, au fond des cuisines à regarder l’organisation militaire durant le coup de feu et… ça lui a plu. Un passage rapide à l’Ecole Ferrandi et le voilà à St-Jean-Pied-de-Port chez le fils du grand Arrambide. Retour à Paris : Christian Constant au Violon d’Ingres, puis au Laurent, puis bye bye pour Singapour où il travaille dans le Meilleur Restaurant Français de la ville (voté comme tel en tout cas). Cinq ans de bonheur. L’appel de la maternité les font rentrer à Paris, le Jules Vernes, puis un petit bistrot à vins/restaurant pour voir un autre monde chez Les Crus du Soleil. C’est ce style qui le tente et il y a quelques semaines ouverture du Nous4.
La salle est claire, agréable, tables bois et carrelage d’époque « pur bougnat », et sur un des murs une fresque magnifique sur Paris dessinée par un de leurs amis. Table d’hôtes, cuisine ouverte, tous les codes du moment sont là. Propositions sur ardoise exclusivement, donc une cuisine changeante, mouvante, et inspirée par l’actualité du jour et des arrivages. Normal mais rassurant. (Lire la suite)
Wed/Nov/Å
Près de la Gare de Lyon à Paris, un bistrot en modestie et sincérité.
On croyait le Gault & Millau en pré-retraite, fatigué des mandibules, les molaires ramollos, remâchant ces souvenirs glorieux de nouvelle cuisine. Voilà que, sous la houlette de Côme de Chérisey, son nouveau propriétaire, le guide jaune retrouve du mordant. Il a même assez de niaque pour croquer certains talents avant tout le monde. Exemple : Stéphane Browne. On ne vous dit pas que c'est le chef de l'année ni qu'il ferait demain la Une du Time. Mais le parisien de 37 ans fait parti du club fermé des cuisiniers qui ont décroché la dotation Gault & Millau, un parrainage qui les aide à ouvrir leur 1er restaurant. Après avoir trimé sous les ordres de quelques colosses - Firmin Arrambide, à St Jean Pied de Port; et Christian Constant, Alain Pégouret, Alain Ducasse... à Paris -, le gaillard s'installe à son compte. Au sueurs froides des brigades surentraînées, il préfère la joie de nourrir son quartier au quotidien, dans un bistrot d'humeur et d'humilité, ou son accent titi résonne sur le grand mur d'une fresque tagué de la capitale. A côté de cette oeuvre géante, signée par l'artiste Thomas Dartigues, l'ardoise ferait presque profil bas. Au déjeuner, 2 formules à 20 et à 24€ au choix serrés. En entrées, velouté de topinambour d'une suave onctuosité, serti de poires, de noix et de croûtons; ou Caesar Salad, qui, chose rare, coche les bonnes cases : romaine croquante et sauce nappante, bien relevée d'anchois et de parmesan. En plat, poitrine de cochon fermier de Mayenne, diaboliquement croustifondante, flanquée d'un bon ragoût de lentilles ou ... strozzapretti. Il s'agit bien de pasta, mais le chef n'a pas l'intention de rivaliser avec ses confrères Italiens. Il mitonne cette drôle de pâte courte entortillée avec une poêlée de couteaux et de coppa, qu'il relève d'une persillade, de fumet de poisson, d'échalote, de vin blanc, de crème fraîche. Une assiette dégourdie et roborative, qui n'a d'autre ambition que d'être saucée jusqu'à la dernière goutte de jus. (lire la suite)